On s’attendait au retour de LH, on n’a pas été déçu, c’est toujours passionnel, voire tribal… mais avec une touche littéraire en plus… On vous dit tout ici.
LH est de retour !
Et, c’est épatant, il n’a pas changé.
Enfin si, d’une certaine manière, on vous dit pourquoi ci-dessous…
Mais avant, un petit retour en arrière s’impose, juste histoire, pour ceux qui ne le connaissent pas, de cerner l’impétueuse humanité un tantinet chamanique du personnage.
Comme on vous le disait, LH demeure égal à lui même…
Un potentiel énergétique inchangé, une peinture qui reste brute, sauvage, primitive, voire primordiale…
Ce genre d’art pictural qui se marierait à merveille avec l’ancestralité originelle d’un concert de didjeridoo…( les deux VU-mètres de l’ampli dans le rouge, of course).
Une peinture qu’on n’oserait pas qualifier de naïve vu que LH , son serviteur (il préfère ça au terme « concepteur »), ne l’est pas.
Il nous avait déjà habitué à secouer les conventions rigides des codes de lecture, à métamorphoser les lettres en cryptogrammes bien à lui.
Avec cette expo, il enfonce le clou en mêlant références littéraires aisément lisibles et symbolismes picturaux.
Le référentiel musical dont nous parlions dans l’article précédent prend un peu de recul face au pouvoir de sentences parfois identifiables (la clef du langage littéralement représentée sur ce « Je est un autre », phrase bien connue, véritable « fer de lance » de la fureur rimbaldienne en est un exemple).
En résumé, les couvertures de livres ont pris, cette fois, l’ascendant sur les pochettes de disques, mais le talent demeure intact.
Merci Luc !
LH expose sur deux sites distincts...Au Jardin du Cloître (le Septem, en fait) et au Couvent d’Hautrage…
Le lien? Il est ici, en dessous.…
À bientôt?