Chronique - À la recherche des médias disparus...

Chronique et photos de Daniel Godart

C’est vrai, le titre en jette, il est d’ailleurs bougrement exagéré, mais se la jouer à l’anglaise, façon Tabloïd peut parfois faire bouger les choses… Ce week-end se déroulait le salon du livre à Mons, quoiqu’on en pense, cet événement acquiert, au fil du temps, une importance notable… (Cette année, il fête ses dix ans).

Alors, c’est vrai, le support livresque peut paraître désuet… Mais, en fait, il ne l’est pas du tout.

Ceux qui éprouvent (et ce week-end nous a montré à quel point ils peuvent être nombreux) du plaisir à palper la tiédeur cellulosique d’un bouquin, qui s’émerveillent devant la transmutation du littéral monochrome en imaginaire multicolore ou en savoir illimité, ceux qui, enfin, soupèsent avec délectation les volumes, leurs pages rêches et la flexibilité des couvertures comprendront aisément… On peut s’en moquer ou en avoir peur, il est vrai que ces tonnes de papier peuvent paraître rebutantes aux accros du smartphone, mais le livre restera encore et toujours indémodable… Et donc, pour faire bref, on y a encore et toujours fait de très belles rencontres.

Et on vous engage à y jeter un œil, l’année prochaine…Mais cette fois, on vous préviendra avant, vous n’aurez plus d’excuses.

Rester curieux, l’effort est minime… Et (très) souvent payant.

C’est où ?… De l’autre côté de la passerelle, du côté mercantile de la force en fait, il vous faut pour se faire enjamber le monstrueux édifice calatravesque…. Le bâtiment est orné de bois, c’est le seul, vous ne pourrez pas vous tromper.

On s’y voit en ‘23 ?

Bises...

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