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A DICHOTOMOUS JOURNEY.
Plongez dans le monde fascinant où l'art et la science se rencontrent. Découvrez comment ces deux domaines se mêlent pour créer une expérience captivante, explorant l'infiniment grand et l'infiniment petit. Une exploration qui défie les dichotomies et nous rappelle que la beauté et la recherche sont plus étroitement liées que nous le pensions.
Coups de cœur d’automne
« Un samedi nuageux d’octobre, grouillant de sorcières, de citrouilles et d’araignées en plastique…
Mais un samedi quand même…
Et quoi ?… Que du gris, de l’orange et du noir?… Et bien pas tout à fait.
Deux points lumineux, deux petits phares, illuminent la morosité probable des mois à venir… »
Mais un samedi quand même…
Et quoi ?… Que du gris, de l’orange et du noir?… Et bien pas tout à fait.
Deux points lumineux, deux petits phares, illuminent la morosité probable des mois à venir… »
Coup double
Mons, fin septembre, deux événements discrets folâtrent aux frontières du rêve et du merveilleux, l’un à la Co-Guest House, l’autre à la THANKSgalerie, et ils méritent vraiment que vous y jetiez les deux yeux.
Exposition « Rusty Wood », un art pas rouillé du tout !
François Bouton, c’est le mec créatif qui ne se prend pas au sérieux. Il aime tester, graver, tamponner pour raconter des histoires. Pour support, du papier recyclé, du bois, des planches de skate. Et au final, un art hyper accessible à découvrir au travers de « Rusty Wood », sa première expo solo en galerie. Pousse la porte et tu reviendras peut-être avec une jolie pièce à mettre dans ton salon !
Beatles Day 2023
Comme chaque année, nous sommes allés au Beatles Day.
Un peu par habitude, comme avant, quand nos aïeux allaient à la messe le dimanche… Parce qu’il s’agissait, à l’époque, d’un impératif socio-culturel et que c’était une bonne occasion de prendre un bain et de se changer les idées en allant voir des gens.
Comme chaque année, on retrouve (avec énormément de plaisir) des têtes qu’on ne voit qu’une fois l’an.
Un peu par habitude, comme avant, quand nos aïeux allaient à la messe le dimanche… Parce qu’il s’agissait, à l’époque, d’un impératif socio-culturel et que c’était une bonne occasion de prendre un bain et de se changer les idées en allant voir des gens.
Comme chaque année, on retrouve (avec énormément de plaisir) des têtes qu’on ne voit qu’une fois l’an.
