Tête de conque.

L’histoire prétend que le mouvement serait né à Paris, mais le surréalisme, c’est un peu comme les frites, le monde entier a beau les appeler « French Fries », on sait tous que les meilleures sont belges!
Car oui, avec son esprit frondeur et anticonformiste la Belgique va se révéler être une terre féconde pour ce courant artistique doux-amer reliant le grave au burlesque et l’absurde au profond.
L’atelier des Capucins rend hommage, à sa manière, à ce mouvement important…
Non pas en exhumant des toiles de l’entre deux guerres, mais en en remettant le concept au goût du jour.
Pour ceux qui se demandent ce qu’est devenu le surréalisme… La réponse est à la Rue Masquelier, 15, 7000 Mons.

Imagerie rétinienne.

Brigitte Van Wimelbeke expose à nouveau à Mons, en un seul endroit cette fois…
Et avec un thème tout particulier : Le regard.

Métamorphose

Le parcours de vie d’Anna a vraisemblablement conditionné son œuvre.
Car si certains regardent les guerres d’invasion dans le poste, d’autres, comme Anna, les ont vues de près.
Anna Baryshnikova expose à la galerie Fracas, sa scénographie tient de l’exutoire et c’est un peu plus corrosif qu’un JT.

Rêveries angulaires.

Certaines expos, de par leur « vaporosité » se prêtent à merveille aux interprétations multiples…
C’est le cas pour le moment à l’Atelier des Capucins...

Sans filtre.

Les vacances se terminent, les jours raccourcissent, les plumiers s’emplissent de nouveaux crayons...C’est le moment choisi par la galerie Fracas pour reprendre du service… En invitant les gens d’à côté.

Petits bouts d’âme...

Le magasin de Papier accueille tout l’été un véritable mini salon de la photographie… Soyez curieux… allez donc y jeter un œil...(chapeau 7000)