Chroniques / Interviews

Serge Dorchez, artiste plasticien local a la joie de vous présenter une partie de ses œuvres réalisées récemment dont le thème principal est le personnage tourmenté. On notera que l'artiste a choisi un endroit qui contraste avec le rendu de ses toiles puisqu'il a un choisi pour lieu d'exposition un restaurant très convivial situé au 16, Rue des Fripiers à Mons, le Camerluche. Une exposition visible tout le mois de février.

Le festival Ramdam est un événement qui marque les esprits par sa programmation originale et dérangeante. Les festivaliers, qui arrivent avec le sourire, sont immergés dans un univers cinématographique riche et varié, qui les amène à réfléchir sur des sujets importants et parfois difficiles...

Expo assez interpellante pour les rétines que celle présentée à l’Atelier des Capucins… L’interpénétration de deux univers, l’un d’une (apparente) rigueur mathématique, l’autre d’une (fausse) fragilité.

Dans quelques jours, se déroulera du 13 au 23 janvier, l’édition 2023 du Ramdam "Le festival du film qui dérange".

Le staff des organisateurs n'a pas ménagé ses efforts pour proposer une programmation pointue.

L’édition 2023 s’annonce grandiose avec 95 films, courts-métrages et documentaires, avec un retour notable des conditions sanitaires normalisées.

Notre chroniqueur le plus fidèle, Daniel Godart, a visité pour Septmille l'exposition des œuvres de l'artiste montois Luc Herbint. N'hésitez pas à venir voir les peintures d'un artiste solaire et passionné par son travail et de vous laisser engouffrer dans son univers où règnent les visages déformés et les silhouettes fantomatiques. L'exposition Mythes & Légendes du 21ème siècle est visible à la THANKSgalerie, au 22 Rue des Fripiers à Mons, jusqu'au 10 décembre 2022.

L’ancien couvent entièrement restauré, sorte d’antichambre menant à une spacieuse chapelle désacralisée, abrite depuis 2019 un espace dédié aux arts, à la culture et à la réflexion… Colloques, expos et séminaires s’y succèdent d’autant plus régulièrement que l’ombre du virus s’estompe… Les semaines qui viennent placeront le lieu sous le signe des peintures d’Anne Lea Van Hoof et des sculptures de Gisèle Lombaerts.

« La seule chose qui est claire pour moi, c’est que j’ai l’intention de détruire, de détruire tout ce qui existe dans la peinture. J’ai un mépris total pour la peinture, la seule chose qui m’intéresse, c’est l’esprit lui-même. » Joan Miró , 24 janvier 1931.
Ça commence fort, non ?... On est donc allé jeter un œil au BAM, vu que Miró s’y expose… Le Catalan qui interagit sur la perception des choses à la manière d’une division de pelleteuses qui disloquerait tout sur son passage n’a jamais laissé personne indifférent.