Chroniques / Interviews

Ce 12 avril 2025, un grondement venu du fond du Borinage résonne jusqu’aux pavés de Dour. À la Brasserie du même nom, un rendez-vous devenu culte revient pour réveiller les âmes endormies à coups de riffs puissants, de sueur bienveillante, et d’une ambiance comme on en fait trop peu. C’est le Wolfrock Festival, et cette année encore, il promet une claque.

Il est des rendez-vous qui, année après année, tissent leur légende en toute discrétion, portés par la passion, l’exigence artistique, et une envie sincère de faire vibrer un territoire. À Mons, depuis maintenant sept éditions, le Concours International "Accordéons-Nous" incarne exactement cela. Un événement qui mêle excellence, découvertes et émotions, et qui revient cette année du 10 au 13 avril 2025, avec une édition qui s’annonce aussi intense que chaleureuse.

Il y a un an, Fixxerstuff débarquait dans le game avec On arrive, un single qui donnait déjà un bon aperçu de ce mélange explosif entre metal, rap et trap. Un an plus tard, ils reviennent avec un premier EP, une tournée qui s’enchaîne et une énergie intacte. On a repris la conversation là où on l’avait laissée. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le groupe a bien grandi.

Le 12 mars prochain, la Louviéroise Catherine Chalon alias Bloocat jouera à domicile au Stock dans le cadre de la programmation de Central.

Harmonie Rouffiange est une comédienne, autrice et metteuse en scène belge qui se distingue par son énergie débordante et son humour percutant. Issue du Conservatoire Royal de Mons (ARTS²), elle a rapidement su imposer son style à travers des performances mêlant théâtre, stand-up et écriture engagée.

Vers les Métamorphoses d’Etienne Saglio est un spectacle magique et poétique présenté au Théâtre Le Manège à Mons. Entre illusions captivantes, décors en transformation constante et une bande sonore immersive, le spectacle explore les thèmes du voyage et de la métamorphose. Une expérience unique qui émerveille et invite à la réflexion.

Huitième année pour le Be POP… Parce que non, dans la sphère musicale, le support physique n’est pas vraiment mort.